Athletes testimonials
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Laurent Connesson 48 ans, trois Evergreen et candidat pour un 4ième. En effet j’ai hâte d’être au 14 septembre pour de nouveau prendre le départ de ce fantastique triathlon.
Depuis la 1ère édition je suis tombé amoureux de ce triathlon hors norme. C’est un triathlon certes très difficile avec des dénivelés que l’on ne retrouve nulle part et en haute altitude.
Mais cela ne suffit pas à rendre ce triathlon exceptionnel. La beauté des sites que ce soit ce magnifique lac de Montriond avec son eau cristalline ou l’extraordinaire beauté du parcours vélo avec ces cols mythiques, ces vues sur la chaîne du mont blanc hallucinantes, et un parcours CAP magnifique avec des montées et descentes interminables autour de sommets fantastiques et légendaires. Un final de nuit qui fait se dépasser pour finir à Chamonix. Mais je crois ce qui fait que ce triathlon va devenir légendaire c’est cette ambiance cette atmosphère qui s’en dégage. L’implication des organisateurs, leur proximité, leur dévouement donnent un caractère convivial et familial et cela se ressent entre participant. On sent que la difficulté de cette épreuve crée une atmosphère respectueuse entre concurrent. Tous ceux qui m’ont accompagné ou qui ont participé sont unanime et veulent y retourner.
C’est une vrai expérience à faire.
Evergreen Endurance 228 is the most epic one day race I participated... It is an incredible journey in an amazing area. Especially the run in the Chamonix Valley will test all your physical and mental strength. Reaching the finish line is a tremendous accomplishment.
This organizers put their heart and soul to this event and it shows.
I love the focus on sustainability from the Evergreen Endurance team as well.
I participated in all three editions, and hoping to be back for many more.
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Un vrai parcours XXL de montagne avec un gros trail pour (se) finir.
En 2015 nous étions 37 au départ sur l’Evergreen 228 autant dire qu’il y avait de la place pour nager dans le lac de Montriond, un superbe lac perché à 1000 m d’altitude et bordé de falaises d’où s’écoulent quelques cascades, l’eau y est limpide mais fraîche. J’ai eu la chance de faire partie de ces pionniers et les souvenirs sont encore intacts. Les paysages dans lesquels nous avons eu la chance d’évoluer sont juste magnifiques. Il n’y a pas un instant de répit pour les yeux. Pour les jambes non plus d’ailleurs, les cols s'enchaînent tout au long du parcours vélo avec quelques passages où la gestion est de mise, pour exemple l'enchaînement col de Romme, col de la Colombière qui était au programme des éditions 2016 et 2017. Une fois la partie vélo terminée il reste le dessert : le trail. Là encore jusqu’à la tombée de la nuit on en prend plein les yeux, on arpente le Montenvers et le Brévent tout en admirant la mer de glace et les cimes alentour.
Mais tout cela ne serait pas possible sans la présence et la bienveillance des bénévoles qui sous la canicule, la pluie ou la neige sont toujours présents pour nous, une boisson, un ravitaillement, un sourire et c’est reparti !
C’était tellement bien (si, si, promis) que j’ai fait les 3 éditions. En 2019 devinez quoi, j’y retourne, alors rendez-vous sur la ligne de départ…
Quand Bruno nous a parlé, à Nico et moi, d’organiser ce type de format de Triathlon dans la vallée de Chamonix, ça nous paraissait évident de participer à un format montagne comme celui-ci. Je n’ai jamais fait le 228 mais le 118 est déjà une belle aventure où la gestion de course rentre en jeu et j’aime beaucoup. Le dénivelé et les paysages traversés en vélo et à pied sont magnifiques; et même la natation au lever du jour a quelque chose particulier malgré l’eau froide ;).
La course à pied n’est pas ma discipline préférée, pourtant sur ce triathlon la partie Trail est la plus belle. La traversée entre le Signal et l’intermédiaire du téléphérique du midi est inoubliable.
Associé au fait que l’organisation s’attache en priorité à la préservation de l’environnement et l’impact écologique d’une telle course, ça ne pouvait que plaire à Organicoach!
La montagne à toujours était une passion, mon univers, le triathlon et vite devenu une autre passion et mon métier. Quand Bruno que nous avons rencontré pour nos offres Organicoach nous a présenté ce projet Evergreen, un triathlon en montagne et avec des actions importante en matière de développement durable à Chamonix, il a pas fallu d’autres argument pour me faire sortir de ma retraite sportive en septembre 2015 et me lancer sur la première édition du 118, le 228 c’était un peu long quand même. Nager dans le lac de Montriond au lever du jour, magique. Rouler 100km pour rejoindre Chamonix, a une allure, gestion oblige, ou tu peux apprécier la vue sur le mont blanc ou quelque vaches dans leur champs bien vert. Une transition au centre de Chamonix pour partir en trail, vu sur la mer de glace, évoluer parmi les rhododendrons sur des chemins plus que mythique. Bref le plus beau triathlon que j’ai pu faire, avec un vélo de route bien sure ;) Car pour faire mieux il faut un VTT ! Mais il me semble que ce détail n’a pas échappé à l’organisation pour 2019. Vous pourrez même rester dans la région, pour le XTERRA Altifort, la semaine suivant, seconde édition du format Long Distance entre Passy et Megêve.
I have been dreaming for a long time of a great event in our beautiful Alps , something where each and every participant can touch and appreciate the grandeur of the stunning Mont Blanc range
When we first heard about Evergreen we decided (my wife and me)to embrace the opportunity and race both the 58 and 228
I have been personally racing for 30 years in triathlon and I am lucky enough to have raced the greatest event such as Embrunman , Zofingen , Nice, Roth , Wanaka , New Zealand and Kona but this was on a complete different level you just shrink in the majesty of the mountain and despite the challenge of having a point to point bike course the organisation was on top of everything . One of my very best racing experience
See you on the starting line in 2019
Je viens vers vous pour vous faire part de mon expérience vécue lors de la première édition du Triathlon Evergreen Endurance en 2015.
En préambule, il convient de situer géographiquement cette épreuve pour mieux comprendre les choses. En effet, l’équipe de Bruno Lebeda a décidé de créer une épreuve de Triathlon au cœur du massif haut savoyard, avec la volonté d’apporter à cette épreuve, en plus des valeurs sportives, les valeurs de la montagne et le sens éco-citoyen.
Le décor est donc planté, nous sommes au cœur du massif du Mont Blanc, site cher à mon cœur puisque depuis mon plus jeune, je viens pratiquer l’alpinisme dans cet espace et cette nature privilégiée.
Donc même 15 jours après avoir participé à l’Ironman de Vichy, je ne me voyais pas ne pas prendre le départ de cette épreuve qui revêtait un caractère particulier pour moi.
La natation se déroule dans le lac de Montriond, aux eaux limpides aux reflets bleu-vert… qui en ferai presque oublier la fraicheur… enfin au moins sur le premier tour… ah oui parce que j’ai oublié de vous préciser que je participais au format 228 …. 4 km de natation, 190 km de vélo et 42 km de trail....
La sortie de la natation se fait sans trop de difficultés malgré l’engourdissement des pieds et des mains… à T1 il s’agit de prendre le temps de bien s’habiller car la journée est encore longue, voire très longue …. Au programme 190 km et plus de 4800m de D+
Le parcours vélo est juste extraordinaire, de par les routes empruntées et le tracé du parcours, empruntant les cols de Joux plane, de Romme, de la Colombière, la croix Fry, les Aravis et pour finir Vaudagne, petit col avant de rejoindre T2 sur Chamonix, Vaudagne, petit col cher à mon cœur, l’ayant emprunté de nombreuses fois durant mon enfance.
Vous l’aurez compris, ce parcours est juste extraordinaire et la notion de temps est relative, lorsque nous ait donné la possibilité de pouvoir contempler cette nature forte et somptueuse et surtout de pouvoir confronter ses capacités physiques à ces cols historiques.
L’arrivée sur Chamonix fait quand même plus que plaisir, même si un gros morceaux reste encore à faire … 42 km sur plat, c’est long, mais 42 km de trail dont la moitié de nuit…. C’est juste magique….
Le parcours de Trail, comment le qualifier… euh … comment vous présenter cela… pour faire simple, c’est la cerise sur la gâteau…. Imaginez-vous, presque 3000m de D+ avec des passages au Montenvers, au Plan de l’Aiguille, Planpraz ou la Flégère…. Pour les béotiens, ces endroits font partis des sites emblématiques de Cham, pour les traileurs, ou passages obligés pour les alpinistes.
Et forcément, même pour les plus rapides, la nuit va modifier complètement la vision des choses et donner, s’il y avait besoin, une résonnance encore plus héroïque à cette épreuve.
En effet, la nuit vous fait prendre encore plus conscience de la majestuosité de cet environnement et remet l’Homme dans sa simple condition humaine face à cette nature à la force incommensurable. Nous ne sommes que peu de chose finalement et cette épreuve nous permet d’en prendre conscience ou de se le remémorer simplement.
Je franchis la ligne d’arrivée en 19h49 à la 9ième place avec la satisfaction du devoir accompli et surtout avec une immense reconnaissance envers Bruno, les organisateurs, les bénévoles d’une bienveillance extraordinaire, les participants finishers ou pas, et avec le sentiment non pas, d’avoir réalisé une performance sportive, car la notion de performance est toute relative, mais bien d’avoir appris sur moi-même à travers ces presque 20h d’effort, car s’il faut bien tirer une leçon de ce genre d’épreuve, c’est bien celle là a travers cette introspection.
Je n’ai donc qu’un conseil à vous donner, allez-y ….. vous ne le regretterez pas !
« Le sport est dépassement de soi. Le sport est école de vie »